Les personnes touchées par les os de la semaine peuvent se rétablir grâce au soutien de Selon une nouvelle étude, les cellules souches sont issues de femmes enceintes. Les études nous ont montré que les cellules souches récoltées à partir du liquide amniotique des femmes enceintes sont la réponse pour malgré le fait qu'elle ait été menée sur un modèle de souris. Les chercheurs ont pris cette décision après avoir observé que le gène 78% était plus faible que celui de la souris. fractures chez les créatures, qui souffraient de structures osseuses fragiles.

Le saviez-vous ?

Cette découverte a vraiment suscité pour les enfants qui souffrent de diverses affections osseuses rares depuis leur naissance et pour les adultes qui souffrent d'ostéoporose. Et ce n'est pas tout ! Cette découverte peut également s'avérer bénéfique pour les astronautes, qui ont perdu leur masse osseuse. Des études antérieures ont prouvé que les cellules souches mésenchymateuses (CSM) prélevées à un stade précoce sont plus puissantes que celles prélevées à un stade ultérieur. Elles présentent également plusieurs autres avantages. Les CSM prélevées à un stade précoce ont la capacité de se développer en plus grand nombre, lorsque cela est nécessaire dans les traitements cliniques.

Ils ne forment pas de tumeurs. Ils veillent à ne pas agresser le du récepteur. Elles sont petites et peuvent donc être utilisées facilement. Enfin, ces cellules sont plus faciles à reprogrammer, de sorte qu'elles peuvent se transformer en différents types de cellules. L'équipe de chercheurs de l'University College London a fait des expériences avec des CSM prélevées dans le liquide amniotique de femmes enceintes.

Ils ont injecté les CSM à des souris souffrant d'affections osseuses délicates. Un autre résultat intéressant de cette étude est la façon dont l'équipe a terminé l'étude. On pourrait penser que les cellules souches, injectées dans les souris, ont dû avoir des effets curatifs en plus d'aider à générer de nouveaux os principalement. Mais c'est une idée fausse.

Recherche

L'étude démontre que les cellules souches ont libéré des facteurs de croissance qui ont stimulé les cellules osseuses à construire des os plus solides dans le modèle de souris. Guillot a confirmé : "Cette découverte pourrait avoir une profonde influence sur la vie des personnes dont les os sont fragiles et pourrait empêcher un grand nombre de leurs fractures débilitantes."

Après le succès de l'étude sur les souris, Guillot et son groupe espèrent utiliser cette procédure pour traiter les troubles de la fragilité osseuse et l'ostéoporose, qui touchent plus de 44 millions de patients en Amérique. L'équipe prévoit de procéder à des essais sur l'homme au cours des deux prochaines décennies. Si la technique s'avère efficace pour les individus également, elle pourrait aider les enfants, touchés dans l'utérus et à la naissance. Cette procédure les aidera véritablement à construire des os sains. Et ce qui rend la chose encore plus intrigante, c'est que les cellules souches utilisées dans cette recherche peuvent être transplantées d'un individu à l'autre sans que les CSM ne correspondent entre le donneur et le receveur.